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Shakespeare, c'est moi: La confession d'Edward de Vere - Jouannic Brünhilde

Shakespeare, c'est moi: La confession d'Edward de Vere - Jouannic Brünhilde
Shakespeare, c'est moi: La confession d'Edward de Vere - Jouannic Brünhilde
Shakespeare, c'est moi: La confession d'Edward de Vere - Jouannic Brünhilde

Résumé

On me dit pédéraste, nécromancien, menteur, meurtrier violent : ils ignorent que je porte en moi tempêtes et songes de nuits d’été. On me qualifie de plus grand décadent du siècle, alors que je suis un sublime auteur, ce que je ne peux avouer à personne.
Un jour, moi, Edward de Vere, 17e comte d’Oxford, j’ai créé Shakespeare. Et un jour, Shakespeare m’a tué. J’ai usurpé l’identité d’un homme, lui m’a volé mon âme….

Shakespeare, c'est moi: La confession d'Edward de Vere - Jouannic Brünhilde

La Critique de Cellye

 

Je n’ai jamais réellement apprécié l’écriture de Shakespeare, pourtant j’adorais regarder ses pièces. Avec le temps, j’ai fini par apprécier certaines répliques de ce dramaturge si célèbre. Je l’ai dit dans ma présentation, je suis une lecturieuse. J’aime aller au-delà de ce que je sais, de ce que je lis, qui était donc ce dramaturge autant adulé que décrié ? Est-il réellement, de naissance, William Shakespeare ? Comment pouvait-il connaître les endroits décrits dans ses écrits ?

           

Bref, qui, où, comment, pourquoi ?!

 

Ici, l’auteur répond à qui, mais aussi étrangement à toutes ces autres questions qui découlent de ce qui.

 

Je n’avais, avant ce livre, jamais douté du fait que William Shakespeare soit William Shakespeare. Mais ce livre… Comment expliquer clairement qu’il m’a retourné le cerveau et que je me pose beaucoup de questions ! Un véritable voyage au royaume des questions identitaires du jeune comte d’Oxford, de ces voyages, de sa terrible et trépidante vie. Un chef d’œuvre qui nous immerge dans une lecture profonde grâce à l’emploi de la première personne. On a réellement l’impression d’y être, de se trouver là où il est, de subir ses malaises, ses joies, ses déceptions. Un chef d’œuvre vous dis-je.

 

Je me souviens, dans un premier temps que je l’ai lu d’une seule traite, en seulement quelques heures. La nuit qui a suivie, je l’ai tout simplement passée à me documenter sur cette théorie complètement folle, sur l’idée que cet Edward de Vere puisse être William Shakespeare… Eh bien voici ce que j’en dis, de deux choses l’une : ce livre m’a convaincu quant à cette histoire d’identité, et un livre qui pousse à une pareille réflexion et à des heures (voir des jours) de recherches, tout en amenant à de multiples relectures est FORCEMENT un excellent livre !

 

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