On est juste amis (promis juré !) - Whitney G.

26.04.2022

Editions Bookmark

Collection Infinity

Parution : 22 septembre 2021
ISBN: 9782017170402

Prix Grand Format : 19€

Prix Ebook : 5.99€

300 pages

Résumé ~

Arizona Turner et Carter James sont des amis. Rien que des amis. Enfin, ça, c’est ce qu’ils croient ;)

Arizona et Carter sont amis depuis toujours, ou presque. D’abord ennemis jurés en CM1, ils sont vite devenus meilleurs amis pour la vie. Et les notes acerbes qu’ils avaient pris l’habitude de s’échanger ont laissé place à une correspondance espiègle.

Aujourd’hui diplômés, Ari et Carter sont sur le point de passer leur dernier été avant de prendre des chemins différents. L’école de droit pour lui, et une école de cuisine pour elle. Alors qu’est-ce qui pourrait mal tourner ? À peu près tout ! Il n’aura suffi que d’une nuit et d’un baiser pour tout changer. Mais entre Carter qui n’a jamais gardé une copine plus de six mois et Arizona qui recherche le parfait petit ami en s’appuyant sur des calculs et des analyses de risque, ce n’est pas gagné !

Des fêtes sur la plage aux promenades en bateau, découvrez l’histoire pas comme les autres de deux amis qui réalisent qu’ils sont peut-être un peu plus que ça ! Une romance passionnée et pleine d’humour qui pourrait bien vous donner envie de gaufres !

Ma lecture ~

J'ai commencé cette lecture suite aux conseils d'une amie qui venait de le terminer et qui l'avait adoré. Comme nous avons les mêmes goûts concernant nos lectures et qu'il était présent dans ma wishlist, je me suis mise à le découvrir. Malheureusement j'ai eu beaucoup, beaucoup de mal à me plonger dans l'histoire et à rester attentive lors de ma lecture. Le moindre petit bruit me faisait repartir dans mes pensées en laissant de côté l'intrigue. Je pense que ce qui m'a dérangé était la longueur des chapitres et la lenteur de l'intrigue : je me suis ennuyée, je trouvais temps long. Même si le récit s'accélère par la suite, c'était à mes yeux trop tard, je n'étais pas réellement à fond dans ma lecture. J'ai eu parfois le sentiment que certaines scènes étaient répétitives et similaires.

L'autre point qui m'a gêné fut la fin assez abrupte et précipitée, j'aurais apprécié qu'elle se traine un peu plus comme le reste du roman finalement, qu'on obtienne plus de détails et qu'il y ait surtout un épilogue. Whitney G., l'auteure, a publiée sur son blog un épilogue plus long avec beaucoup plus d'explications qui s'appelle Sincerely, Carter.

Cependant j'ai tenu bon et je suis allée au bout de l'histoire, en partie parce que j'avais vraiment adoré deux des romans de l'auteure, Deux semaines de préavis et Un fiancé à durée limitée. Les traits d'humour de l'auteure y sont présents, comme une signature.

J'ai ainsi pu découvrir la belle histoire de Carter et Arizona, l'amitié et la complicité qui les lient et les sentiments qui prennent de plus en plus d'importance. L'un et l'autre sont attachants et c'est un plaisir de les voir ouvrir leurs yeux sur ce qu'ils ressentent. Chose rare, ils se confient assurément tout. Généralement - et particulièrement lorsqu'il s'agit de relation fille/garçon - l'un cache souvent des choses à l'autre, par honte ou par inquiétude : ce n'est pas le cas ici, ils se racontent tout sans filtre et sans tabous. C'est rafraichissant ! Le fait que le récit soit entrecoupé de flashback apporte un vrai plus et nous permet de réellement comprendre le lien qui les unis.

Honnêtement ne vous attendez pas à grand chose concernant les péripéties : histoire reste simple, sans grands évènements notoires ou grande révélation. Comme nous alternons les points de vus de Carter et Arizona, nous savons ce qu'ils pensent et ce qu'ils croient.

En bref, c'est donc une légère déception pour moi, je m'attendais à une histoire beaucoup plus rythmée et j'ai donc été relativement déçue là-dessus, même si le récit s'accélère au fur et à mesure. Le fait qu'il n'y ait pas d'épilogue manque et aurait été un vrai plus pour l'histoire.

"Quoi qu'il arrive, c'était là que Carter et moi nous retrouvions chaque fois que nos vies prenaient un nouveau tournant et que nous avions besoin de parler."